
Erik Orsenna commente bien la nature de l'ouvrage dans la préface : « Il se trouve, dit-il, que les ouvriers qui, par milliers, travaillent dans cette ville du dessous, ont au fil des jours et des années fini par inventer un langage. Un langage pour donner de la couleur au quotidien dans cette immense caverne. Et de l'humour à la gravité du travail. Un langage savoureux, pertinent, aigu, imaginatif, pleins d'inventions et d'autodérision. »
Abécédaire du parler de l'arsenal, Éditions Dialogues, 120 pages, 15 €.