Rebelles non-violents
Mosireen, cela veut dire Egypte et déterminés
Mosireen est un collectif d'une dizaine d'activistes citoyens des médias égyptiens. Documentant la réalité du "point de vue de la rue", avec leurs téléphones et leurs caméras, des milliers de gens filment ce qu'ils voient au jour le jour, révélant la réalité de la violence.

Dans les pays où les médias traditionnels sont sous la coupe du pouvoir, les seules informations indépendantes se retrouvent sur Internet, qui est devenu un forum de discussion, un refuge pour ceux qui souhaitent s’exprimer librement. Aussi, à l’occasion de la Journée mondiale contre la cyber-censure, Reporters sans frontières (RSF) et Google ont décerné le 12 mars dernier le Prix du Net-citoyen 2013.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 2 Mai 2013 à 19:59
Non Violence Day 2013
L'Association pour une Fondation de Corse, présidé par Jean-François Bernardini et Non-Violence XXI, fond associatif pour une culture de la Non-Violence au XXIème siècle,  organisent le 15 mai 2013 à la Mutualité à Paris un " Non violence Day 2013 ", Porte ouverte à la Non-Violence.

Corse et Non-Violence, voilà deux mots qui ne vont pas ensemble, me direz-vous ! Détrompez-vous : si la Corse violente fait souvent la Une de la presse, il y a aussi des corses qui luttent d'une tout autre manière. 

« La non-violence, cette inconnue, nécessaire et efficace, peut être pratiquée partout par les chercheurs de justice. Et si cet arbre nouveau était en train de grandir en terre de Corse dans cette île riche d’une tradition non-violente que l’on ignore ? » écrit Pascal Leccia de la Fondation.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Samedi 20 Avril 2013 à 11:02
La carte du terrorisme
The  Global Terrorism Index (GTI) est le premier index qui classe et compare sytématiquement 158 pays en fonction de l'impact du terrorisme et qui analyse les dimensions économiques et sociales qui y sont associées . Produites par the Institute for Economics and Peace, les cartes du GTI en rendent compte sur les dix dernières années. L'index est basé sur les résultats de la base de données de Global Terrorism Database (GTD) du National Consortium for the Study of Terrorism and Responses to Terrorism (START ) de l' Université du Maryland.

Le GTI utilise quatre indicateurs pour mesurer l'impact du terrorisme : le nombre d'incidents dûs au terrorisme, le nombre de morts, le nombre de blessés et les dommages matériels. Le score donné à chaque pays indique l'impact sur la société en terme de peur et ce qui en découle à savoir les réponses sécuritaires.

Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 19 Avril 2013 à 10:17
L'autodéfense ou comment vaincre sa peur
Les violences que subissent les femmes sont une réalité. Aujourd'hui en France, une femme, tous les trois jours, meurt sous les coups de son « compagnon » et, en moyenne, un viol a lieu toutes les deux heures. Inutile de tomber dans la psychose. Au contraire, explorons des moyens qui peuvent aider à surmonter la peur et à dominer la situation.

L'autodéfense est une des réponses possibles. En essayant de comprendre la violence physique et surtout en cherchant les outils qui leur sont adaptés, les femmes peuvent développer des stratégies efficaces face à des situations d'agression physiques et psychologiques.

Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 11 Avril 2013 à 19:50
La lutte de Pinar Selek
Le jeudi 24 janvier 2013, la 12ème cour pénale d’Istanbul a condamné Pinar Selek à la prison à perpétuité et a émis un mandat d’arrêt contre elle.

Féministe, militante pour la paix, fondatrice de l’association féministe « Amargi » ainsi que de la revue du même nom, Pinar Selek, 41 ans, est sociologue de terrain et écrivaine. Aujourd’hui réfugiée à Strasbourg, elle poursuit un travail de thèse initié à Istanbul.

En 1998, accusée sur dénonciation d’avoir posé une bombe au marché aux épices d’Istanbul, elle est emprisonnée deux ans et demi et torturée. Quatorze rapports d’expertise sur quinze établissent qu’une fuite de gaz accidentelle est à l’origine de l’explosion. Pinar Selek a été trois fois acquittée par le Tribunal pour être condamnée aujourd'hui à perpétuité : un véritable acharnement politico-judiciaire dans un procès dont les irrégularités scandaleuses ont été dénoncées avec force par les experts auprès du Parlement européen.
 
Ce dont on l'accuse, en fait, est détaillé dans l'interview paru sur le web docu " Têtes de Turques". Dans le cadre de ses recherches de sociologue, elle a interrogé des militants du PKK. Suite à l'explosion de la bombe,la police veut connaître les noms des militants du PKK soupçonnés d'avoir perpétré l'attentat. Pinar refuse.

Son seul tort est le courage qu’elle a manifesté en 1998, lorsqu’elle a refusé de livrer à la police l’identité de militants kurdes. Ni l’emprisonnement, ni la torture, ni les manipulations judiciaires ou les intimidations n’ont entamé sa résolution à poursuivre ses travaux de doctorat à l'université de Strasbourg, à défendre les valeurs féministes, les Droits Humains et la cause des minorités.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 4 Avril 2013 à 14:29
Soutenons le soldat Bradley
Le 3 février 2013, le premier prix au concours international de plaidoiries pour les droits de l'Homme organisé par la Ville de Caen et le Mémorial de Caen est remporté par un jeune avocat lillois, Maître Charles Merlen, pour sa plaidoirie "Bradley Manning : un soldat de la vérité"

Accusé d'avoir transmis des documents militaires top secret au site WikiLeaks entre novembre 2009 et mai 2010 et en prison depuis trois ans, un tribunal militaire du Maryland a décidé de juger son cas en cour martiale au mois de juin 2013. Bradley Manning sera jugé pour « collusion avec l'ennemi » mais son avocat, sur arbitrage de la juge Denise Lind, ne pourra utiliser l'argument selon lequel Bradley Manning voulait révéler les abus au public : « Je veux que les gens sachent la vérité… peu importe qui ils sont … parce que, sans information, vous ne pouvez pas prendre des décisions éclairées », avait expliqué le jeune militaire en envoyant les fichiers à WikiLeaks.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 28 Mars 2013 à 21:49
Le commerce des armes : pointons la France du doigt
Contrôler le commerce des armes revient aujourd'hui sur la table des négociations des Nations Unies et, cela jusqu'au 28 mars, 8 mois après l'échec de la première tentative.

Il faut savoir que le commerce des armes n'est actuellement régi par aucun réglement contraignant. C'est un marché de 1 500 milliards de dollars, responsable de la mort d'une personne chaque minute, moins réglementé que celui de la banane ou des i.pods.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 21 Mars 2013 à 01:40
Sénégal, 128 communautés disent non à l'excision
Ils étaient plus de mille ce dimanche 24 février, à Fafacourou : 128 communautés de la région de Kolda ont annoncé publiquement leur décision d’abandonner l’excision et le mariage précoce et forcé.

Des jeunes de Fafacourou ont occupé la scène : ils jouent pour expliquer comment l’intervention d’une communauté peut empêcher un père de marier sa fille de force. Ils jouent la confrontation d'un chef de village et d'une mère, déterminée à faire exciser sa fille.

Maroum Diao, ancienne exciseuse, a apporté son témoignage : dans son village, les conséquences tragiques de l'excision étaient le fait de rivalités entre exciceuses. Grâce au programme de sensibilisation de l'ONG TOSTAN, Maroum Diao et les autres membres de sa communauté ont pris conscience que l’excision était à l’origine des problèmes de santé des femmes et des filles et ont pris la décision d’abandonner cette pratique traditionnelle.

Un miracle ? Non, une méthode, celle de TOSTAN, basée sur l'écoute et le dialogue pour résoudre les problèmes.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 15 Mars 2013 à 08:01
Têtes de turques
Réalisé par une dizaine d'étudiant(e)s de l'Ecole de Journalisme de Toulouse, " Têtes de Turques" est un web docu qui part à la rencontre de femmes ayant choisi de lutter contre les conservatismes et les inégalités. Dans ce pays aux portes de l'Europe, à l'économie plutôt florissante, les femmes sont les premières à être confrontées aux changements de société.

« Nous avons choisi de partir en Turquie, pays qui cherche à rejoindre l'Union Européenne depuis 25 ans. Il nous est apparu comme un pays de paradoxes. Un pays qui établit le droit de vote des femmes 11 ans avant la France, qui autorise l'avortement en 1983 jusqu'à 10 semaines, et qui envisage de revenir sur ce droit 30 ans plus tard.

Comment les Turques vivent-elles avec ces contradictions ? Femmes de pouvoir, militantes, sportives, artistes, exilées rurales ou réfugiées en transit... Rien n'est acquis pour elles aujourd'hui. Nous esquissons le portrait d'un pays à travers leurs yeux. Certaines se battent pour des droits. D'autres résistent au quotidien contre des injustices. Ensemble, elles forment notre mosaïque de "Têtes de Turques". »
expliquent ces jeunes apprentis journalistes.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Dimanche 3 Mars 2013 à 09:52
Merci, Monsieur Hessel
« Je suis convaincu  que l'avenir  appartient  à la non -violence, à la conciliation  des cultures  différentes. C'est par cette voie que l'humanité  devra  franchir  sa prochaine  étape.  » a écrit Stéphane Hessel dans ce "Indignez-vous" vendu à plus de 4 millions d'exemplaires.

Merci, Monsieur Hessel, de nous avoir aidés à dire que cette proposition est valable, que cela vaut le coup d'y réfléchir et de la mettre en action aussi bien dans notre quotidien que dans les zones de conflits.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 28 Février 2013 à 15:45
Violence de l'urbanisme, non-violence de l'urbanité
La revue Alternatives non-violentes dans sa dernière publication nous invite à regarder la ville autrement. Autrefois, lieu de rencontre structuré autour d'un clocher, de commerces et d'une mairie, la cité d'aujourd'hui est faite souvent de pièces disparates, celles où on travaille, celles où on dort, celles où on s'amuse...

Que se cache-t-il derrière les vitres opaques des tours d'affaires ? Qui survit dans les couronnes des métropoles ? Ne soyons pas défaitistes, il y a aussi des initiatives citoyennes pour se réapproprier l'espace public, de nouvelles pratiques participatives pour faire de la ville "notre ville" et des urbanistes qui créent les conditions du bien-vivre ensemble. Donnons la parole à Françoic Vaillant, rédacteur en chef de la revue.



Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 22 Février 2013 à 10:43
Avec OTPOR, Srdja Popovic a levé le poing de la lutte non-violente
L'atelier des médias vient de publier l'interview de Srdja Popovic par Raphaëlle Constant. Sordja Popovic tout comme OTPOR sont des noms peu connus du grand public. Et pourtant le poing levé de l'organisation, vous l'avez vu sur les drapeaux, sur les tenues des manifestants dans les rues de Tunis, Le Caire ou de New York.

Il y a 15 ans Srdja Popovic a été un des co-fondateurs d'Otpor, organisation non-violente d'étudiants qui a joué un rôle décisif dans la chute de Milosevic en 2000. L'Atelier des médias l'a rencontré.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 14 Février 2013 à 20:26
Mali : osons les questions
Le MAN, Mouvement pour une Alternative Non-violente, par la voix de sa porte-parole Yvette Bailly, pose des questions différentes sur l'intervention militaire au Mali.

« Le Mouvement pour une Alternative Non-violente (MAN) dénonce les exactions commises par les groupes armés au Nord du Mali à l’encontre des populations civiles qui sont terrorisées et condamnées à fuir. On ne peut trouver aucune justification et aucune excuse aux auteurs de ces actions barbares qui font vivre un véritable calvaire aux habitants en imposant « la charia » et qui ont détruit notamment le magnifique patrimoine de « la cité des 333 saints » de Tombouctou. Ces actes sont humainement inacceptables, moralement indéfendables et politiquement intolérables.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 7 Février 2013 à 19:58
"Tour de Babel" aujourd'hui en Iran
L'Année internationale des coopératives vient de se terminer. Au coeur des rencontres qui ont émaillées 2012, un thème porteur : " Les coopératives, des entreprises pour une autre mondialisation "

Définition de l'Alliance coopérative internationale ( ACI ) qui compte 258 membres dans 56 pays et pas moins de 100 millions de salariés : « une association autonomes de personnes volontairement réunies pour satisfaire les besoins et aspirations économiques, sociaux et culturels, à travers une entreprise dont la propriété est conjointe et le pouvoir exercé démocratiquement.  »
Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 1 Février 2013 à 07:56
En Inde, la jupe non-violente
Suite aux viols collectifs qui ont fait la Une des journaux dans le monde entier, 25 hommes en jupe ont rejoint les 200 militants de Cubbon Park à Bangalore ( Inde ) pour manifester contre les violences faites aux femmes. Une façon de mettre en évidence que ce n'est pas le port de la jupe qui invite à l'agression sexuelle comme semblent le penser certains politiciens.

Dans la vidéo ci-dessous, ils expliquent : « Porter une jupe ne fait pas de moi une femme, vêtir une jupe est mon choix et les femmes devraient avoir le même choix que moi. Personne ne conteste mon choix alors que les femmes sont tenues responsables des vêtements qu'elles portent et des choix qu'elles font. Elles doivent avoir les mêmes droits que les hommes. Ce n'est pas parce qu'on porte d'une jupe qu'on doit être violé. Si je suis un garçon et que je porte une jupe, je ne serai pas inquiété. Ce n'est pas vrai pour une fille. La violence sexuelle, ce n'est pas la jupe qui la provoque mais l'idée admise qu'une femme peut être violentée. »

Ils ont appelé les hommes à rejoindre les femmes pour briser les barrières et instaurer l'égalité : « Les femmes ont droit à part égale à la liberté, la sécurité et la justice dans ce pays. Nous demandons aux hommes de sortir comme une démonstration de soutien de l'Inde et montrer aux femmes qu'elles ne combattent pas seules. Hommes et femmes, ensemble, comme une communauté contre la violence. »

Selon le Bureau national des archives du crime, une femme est violée toutes les 20 minutes en Inde. Delhi a les pires statistiques de toutes les villes indiennes avec 635 agressions sexuelles en 2012, dont 25% de viol. Une femme y est violée toutes les 14 heures.


Rédigé par Marie-Anne Divet le Lundi 21 Janvier 2013 à 16:57
Les drones tuent... et vous surveillent
C''est la guerre d'aujourd'hui, celle qui ne fait pas de bruit, loin des yeux, loin des combats. Brandon Bryant, 27 ans,  était un de ces combattants, conducteurs de drones à 10 000 km de distance du lieu de l'attaque. Il témoigne dans un article publié dans Courrier International et c'est terrifiant. Dans son viseur laser, 16 secondes avant l'impact, c'est un enfant qu'il y avait et non un taliban.

Aujourd'hui, il a quitté l'US Air Force. Il n'a plus supporté de s'entendre dire à ses collègues : « Hey, lequel de ces fils de pute on se fait aujourd'hui ? »

Le drone de combat ou UCAV pour Unmanned Combat Aerial Vehicle : chez nous, il s'appelle Neuron, présenté par Dassault en décembre 2012. Aux USA, grand producteur, ils s'appellent Predator, le plus ancien, ou Reaper. Ils peuventt voler à 500 km/h et  20 000 m. d'altitude. Difficilement détectable par les radars, ils sont pilotés de la terre, par des hommes et des femmes qui, de leurs écrans, surveillent et lancent d'un petit coup de pouce sur le bouton rouge, bombes et missiles. Beaucoup moins cher qu'un avion avec pilote, pas de pertes humaines pour l'état propriétaire, il est l'arme idéale.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 18 Janvier 2013 à 10:30
Les Patrouilles de Barcelone répandent la bonne rumeur
Le Maire de Barcelone ouvre une deuxième session de stage pour lutter contre les rumeurs concernant les immigrés. Plutôt que de discuter du problème, ce sont 436 citoyens qui se sont mis en mouvement et ont bénéficié de la formation gratuite offerte par la municipalité. Ils forment " les patrouilles anti-rumeurs " dont la mission est de mettre fin aux stéréotypes sur les immigrés.

« Cette approche est plus efficace », selon Miquel Esteves, membre de la Commission municipale pour l’immigration et le dialogue interculturel. « Notre programme consiste à toujours mobiliser des informations objectives, afin de venir à bout des perceptions erronées, telles que la croyance que les immigrés monopolisent les services sociaux, qu’ils ne paient pas d’impôt, qu’ils bénéficient d’aides pour monter des entreprises, qu’ils surchargent les services d’urgences ou profitent du système de santé. »
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 10 Janvier 2013 à 22:55
Nakazawa, l'auteur de Gen d'Hiroshima, est mort
«Le plus important trésor de l’humanité, c’est la paix», répétait souvent le dessinateur japonais Keiji Nakazawa, auteur de Gen d'Hiroshima, manga autobiographique sur la guerre. Il vient de mourir d'un cancer à 73 ans le 19 décembre 2012. «Les armes atomiques sont effrayantes, je dois absolument faire tout mon possible pour que la Terre en soit débarrassée», insistait-il. Il savait de quoi il parlait lui qui fut irradié par la bombe.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 28 Décembre 2012 à 12:11
Le plus cadeau que l'on puisse faire à un enfant
Vous voulez faire un super cadeau aux enfants que vous connaissez et que vous aimez ? Mieux que celui du Père Noël ? Un cadeau quotidien et durable ? Pour cela, lisez le rapport publié par la branche européennne de l'ONG WORLDWATCH et présenté lors d'un colloque à Berlin le 15 novembre 2012  "From consumer kids to sustainable childhood"   ( de l'enfant consommateur à l'enfant durable )

Felix Finkbeiner, le garçon qui, en 2007, à l'âge de 9 ans, lança l'organisation "Plant for the Planet"  ( voir Pdf ci-dessous ) y a rappelé la Grande Loi de Paix du peuple Iroquois : chaque décision que nous prenons aura un impact sur les sept générations qui suivront (voir la vidéo ci-dessous).

Comme nous éduquons nos enfants aujourd'hui, nous engageons les sept générations à venir. Adultes, nous avons le choix d'en faire ou non les futurs hyper-consommateurs de demain, en leur apprenant à participer à la vie sociale plutôt que de leur apprendre comment consommer.


Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 20 Décembre 2012 à 12:38
Un livre de cuisine pour manger en Paix
L'israélien Yotam Ottolenghi et le palestinien Sami Tamimi écrivent en cuisine un superbe hommage à leur ville natale Jérusalem. Tamini est né à Jerusalem est et Ottlenghi à Jerusalem ouest. Leur livre nous offre 120 recettes multiculturelles à l'image de la ville où ils sont nés. Multiculturelles certes mais avec la même base partagée de produits locaux riches en couleur et en saveur comme devrait être le dialogue entre les différentes communautés.

Le livre est agrémenté de photos et d'encarts historiques, sociologiques et culturels.
Pour en savoir plus, cliquer ici
Rédigé par Marie-Anne Divet le Samedi 15 Décembre 2012 à 07:01
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Pourquoi ce blog
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Ce qui m'a intéressée dans les idées de Gandhi, c'est le choix. Ou de réagir à la violence par la violence ou de répondre, en me creusant la tête, d'une autre manière, qui respecte l'être humain, comme un autre moi-même. J'aime cette obligation de faire autrement, d'une façon active et créative, une manière d'être à l'autre et non d'avoir l'autre.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.

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