"Si tu es noire, tu vas en faire deux fois plus" dit l'afro-féministe française Amandine Gay dans la bande-annonce de ce documentaire, sorti le 11 octobre sur les écrans.
Ouvrir La Voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Elles se définissent comme "afropéennes" ou "afrodescendantes". Elles sont nées en France et leur expérience du racisme prend une forme particulière du fait qu'elles soient des femmes. Le film est centré sur l'expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de notre identité "femme" et "noire".
Ouvrir la voix, est un documentaire : une vingtaine de femmes noires témoignent de leur impossibilité de mener leur vie sans qu’à tout moment on ne leur rappelle qu’elles ne sont pas blanches et qu'elles sont dotées de prouesses sexuelles hors norme.
Ouvrir La Voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Elles se définissent comme "afropéennes" ou "afrodescendantes". Elles sont nées en France et leur expérience du racisme prend une forme particulière du fait qu'elles soient des femmes. Le film est centré sur l'expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de notre identité "femme" et "noire".
Ouvrir la voix, est un documentaire : une vingtaine de femmes noires témoignent de leur impossibilité de mener leur vie sans qu’à tout moment on ne leur rappelle qu’elles ne sont pas blanches et qu'elles sont dotées de prouesses sexuelles hors norme.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mercredi 11 Octobre 2017 à 09:00
La chaîne japonaise Yoshinoya va produire le riz et les légumes de ses restaurants sur son exploitation agricole à 80 km de Fukushima. « Bien entendu, nous allons contrôler la radioactivité des produits » Parole de dirigeants !
D'où vient cette compassion soudaine pour cette région sinistrée économiquement ? Le prix du terrain ? Un coup de pub ? On peut se poser la question. Plus intéressante et durable est la réponse des Mama Gen.
D'où vient cette compassion soudaine pour cette région sinistrée économiquement ? Le prix du terrain ? Un coup de pub ? On peut se poser la question. Plus intéressante et durable est la réponse des Mama Gen.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mercredi 2 Octobre 2013 à 17:52
Condamnée à 6 ans d'emprisonnement à la prison d'Evin, l'avocate iranienne Nasrin Sotoudeh vient d'être libérée, ainsi que onze autres prisonniers politiques. Elle a pu enfin rejoindre son mari et ses enfants après plusieurs années d'emprisonnement.
Militante des droits humains, elle avait défendu les condamnés après la rébellion de juin 2009, mouvement qui avait plongé le régime dans une crise grave et qui avait sévèrement réprimé les opposants. Des milliers de personnes avaient été arrêtées, des dizaines sont toujours en prison.
Condamnée pour la défense des prisonniers politiques, elle a payé aussi pour son apprtenance au Centre des Défenseurs des Droits de l'Homme de la prix Nobel de la paix Shirin Ebadi, bête noire du régime iranien et qui vit aujourd'hui en exil.
Pour sa lutte et ses grèves de la faim en prison, le Parlement européen avait décerné à Nasrin Sotoudeh le Prix Sakharov pour la liberté de pensée en octobre 2012.
Militante des droits humains, elle avait défendu les condamnés après la rébellion de juin 2009, mouvement qui avait plongé le régime dans une crise grave et qui avait sévèrement réprimé les opposants. Des milliers de personnes avaient été arrêtées, des dizaines sont toujours en prison.
Condamnée pour la défense des prisonniers politiques, elle a payé aussi pour son apprtenance au Centre des Défenseurs des Droits de l'Homme de la prix Nobel de la paix Shirin Ebadi, bête noire du régime iranien et qui vit aujourd'hui en exil.
Pour sa lutte et ses grèves de la faim en prison, le Parlement européen avait décerné à Nasrin Sotoudeh le Prix Sakharov pour la liberté de pensée en octobre 2012.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Lundi 23 Septembre 2013 à 18:03
Dans un article paru sur son blog " Tout un monde", le journaliste de Ouest-france, Laurent Marchand, rappelle la longue liste des atteintes aux droits fondamentaux que vivent les femmes de tous les pays. Au silence dans lequel elles ont été confinées pendant des siècles, succèdent aujourd'hui les cris de révolte : elles sont souvent sur le front de la mobilisation, les turques contre la promotion du voile ou la nouvelle loi sur l'avortement, les tunisiennes de femen, les égyptiennes et leurs graffitis, les Chinoises, les tibétaines, les indiennes....
Si les femmes ocidentales ont de nombreux acquis, Laurent Marchand nous met en garde : ils ne sont jamais définitifs « parce qu’ils vont le plus souvent à l’encontre de traditions séculaires. Des traditions culturelles ou religieuses avec lesquelles les esprits réactionnaires, quel que soit leur credo, aiment renouer en cas de crise. »
Lire l'article de Laurent Marchand ici
Campagne de graffiti en Egypte
Si les femmes ocidentales ont de nombreux acquis, Laurent Marchand nous met en garde : ils ne sont jamais définitifs « parce qu’ils vont le plus souvent à l’encontre de traditions séculaires. Des traditions culturelles ou religieuses avec lesquelles les esprits réactionnaires, quel que soit leur credo, aiment renouer en cas de crise. »
Lire l'article de Laurent Marchand ici
Campagne de graffiti en Egypte
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 20 Juin 2013 à 18:52
Ils étaient plus de mille ce dimanche 24 février, à Fafacourou : 128 communautés de la région de Kolda ont annoncé publiquement leur décision d’abandonner l’excision et le mariage précoce et forcé.
Des jeunes de Fafacourou ont occupé la scène : ils jouent pour expliquer comment l’intervention d’une communauté peut empêcher un père de marier sa fille de force. Ils jouent la confrontation d'un chef de village et d'une mère, déterminée à faire exciser sa fille.
Maroum Diao, ancienne exciseuse, a apporté son témoignage : dans son village, les conséquences tragiques de l'excision étaient le fait de rivalités entre exciceuses. Grâce au programme de sensibilisation de l'ONG TOSTAN, Maroum Diao et les autres membres de sa communauté ont pris conscience que l’excision était à l’origine des problèmes de santé des femmes et des filles et ont pris la décision d’abandonner cette pratique traditionnelle.
Un miracle ? Non, une méthode, celle de TOSTAN, basée sur l'écoute et le dialogue pour résoudre les problèmes.
Des jeunes de Fafacourou ont occupé la scène : ils jouent pour expliquer comment l’intervention d’une communauté peut empêcher un père de marier sa fille de force. Ils jouent la confrontation d'un chef de village et d'une mère, déterminée à faire exciser sa fille.
Maroum Diao, ancienne exciseuse, a apporté son témoignage : dans son village, les conséquences tragiques de l'excision étaient le fait de rivalités entre exciceuses. Grâce au programme de sensibilisation de l'ONG TOSTAN, Maroum Diao et les autres membres de sa communauté ont pris conscience que l’excision était à l’origine des problèmes de santé des femmes et des filles et ont pris la décision d’abandonner cette pratique traditionnelle.
Un miracle ? Non, une méthode, celle de TOSTAN, basée sur l'écoute et le dialogue pour résoudre les problèmes.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 15 Mars 2013 à 08:01
Réalisé par une dizaine d'étudiant(e)s de l'Ecole de Journalisme de Toulouse, " Têtes de Turques" est un web docu qui part à la rencontre de femmes ayant choisi de lutter contre les conservatismes et les inégalités. Dans ce pays aux portes de l'Europe, à l'économie plutôt florissante, les femmes sont les premières à être confrontées aux changements de société.
« Nous avons choisi de partir en Turquie, pays qui cherche à rejoindre l'Union Européenne depuis 25 ans. Il nous est apparu comme un pays de paradoxes. Un pays qui établit le droit de vote des femmes 11 ans avant la France, qui autorise l'avortement en 1983 jusqu'à 10 semaines, et qui envisage de revenir sur ce droit 30 ans plus tard.
Comment les Turques vivent-elles avec ces contradictions ? Femmes de pouvoir, militantes, sportives, artistes, exilées rurales ou réfugiées en transit... Rien n'est acquis pour elles aujourd'hui. Nous esquissons le portrait d'un pays à travers leurs yeux. Certaines se battent pour des droits. D'autres résistent au quotidien contre des injustices. Ensemble, elles forment notre mosaïque de "Têtes de Turques". » expliquent ces jeunes apprentis journalistes.
« Nous avons choisi de partir en Turquie, pays qui cherche à rejoindre l'Union Européenne depuis 25 ans. Il nous est apparu comme un pays de paradoxes. Un pays qui établit le droit de vote des femmes 11 ans avant la France, qui autorise l'avortement en 1983 jusqu'à 10 semaines, et qui envisage de revenir sur ce droit 30 ans plus tard.
Comment les Turques vivent-elles avec ces contradictions ? Femmes de pouvoir, militantes, sportives, artistes, exilées rurales ou réfugiées en transit... Rien n'est acquis pour elles aujourd'hui. Nous esquissons le portrait d'un pays à travers leurs yeux. Certaines se battent pour des droits. D'autres résistent au quotidien contre des injustices. Ensemble, elles forment notre mosaïque de "Têtes de Turques". » expliquent ces jeunes apprentis journalistes.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Dimanche 3 Mars 2013 à 09:52
Suite aux viols collectifs qui ont fait la Une des journaux dans le monde entier, 25 hommes en jupe ont rejoint les 200 militants de Cubbon Park à Bangalore ( Inde ) pour manifester contre les violences faites aux femmes. Une façon de mettre en évidence que ce n'est pas le port de la jupe qui invite à l'agression sexuelle comme semblent le penser certains politiciens.
Ils ont appelé les hommes à rejoindre les femmes pour briser les barrières et instaurer l'égalité : « Les femmes ont droit à part égale à la liberté, la sécurité et la justice dans ce pays. Nous demandons aux hommes de sortir comme une démonstration de soutien de l'Inde et montrer aux femmes qu'elles ne combattent pas seules. Hommes et femmes, ensemble, comme une communauté contre la violence. »
Dans la vidéo ci-dessous, ils expliquent : « Porter une jupe ne fait pas de moi une femme, vêtir une jupe est mon choix et les femmes devraient avoir le même choix que moi. Personne ne conteste mon choix alors que les femmes sont tenues responsables des vêtements qu'elles portent et des choix qu'elles font. Elles doivent avoir les mêmes droits que les hommes. Ce n'est pas parce qu'on porte d'une jupe qu'on doit être violé. Si je suis un garçon et que je porte une jupe, je ne serai pas inquiété. Ce n'est pas vrai pour une fille. La violence sexuelle, ce n'est pas la jupe qui la provoque mais l'idée admise qu'une femme peut être violentée. »
Ils ont appelé les hommes à rejoindre les femmes pour briser les barrières et instaurer l'égalité : « Les femmes ont droit à part égale à la liberté, la sécurité et la justice dans ce pays. Nous demandons aux hommes de sortir comme une démonstration de soutien de l'Inde et montrer aux femmes qu'elles ne combattent pas seules. Hommes et femmes, ensemble, comme une communauté contre la violence. »
Selon le Bureau national des archives du crime, une femme est violée toutes les 20 minutes en Inde. Delhi a les pires statistiques de toutes les villes indiennes avec 635 agressions sexuelles en 2012, dont 25% de viol. Une femme y est violée toutes les 14 heures.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Lundi 21 Janvier 2013 à 16:57
L'avocate iranienne Nasrin Sotoudeh n'était pas au Parlement européen ce mercredi 12 décembre pour recevoir le prix Sakharov 2012. Elle purge en ce moment une peine de six ans de prison à Evine, au nord de Téhéran qui sera suivie de vingt ans d'interdiction d'exercer pour « atteintes à la sécurité nationale et propagande contre le régime ».
Punie pour avoir défendu et médiatisé les cas des opposants et opposantes emprisonnés après avoir manifesté contre la réélection de Mahmoud Ahmadinejhad à la présidence en juin 2009. Elle vient d'arrêter la grève de la faim qu'elle avait entamé le 17 octobre dernier pour dénoncer ses conditions de détention. Nasrin Sotoudeh ne peut recevoir de visite et ne peut plus voir ses deux jeunes enfants. Ses proches n’ont plus le droit de quitter le pays.
Les Nations-Unies, l'Union européenne et plusieurs organisations internationales de défense des droits de l'homme réclament sa libération. Une commission du Parlement iranien vient d’annoncer qu'elle allait examiner la situation de l'avocate.
Punie pour avoir défendu et médiatisé les cas des opposants et opposantes emprisonnés après avoir manifesté contre la réélection de Mahmoud Ahmadinejhad à la présidence en juin 2009. Elle vient d'arrêter la grève de la faim qu'elle avait entamé le 17 octobre dernier pour dénoncer ses conditions de détention. Nasrin Sotoudeh ne peut recevoir de visite et ne peut plus voir ses deux jeunes enfants. Ses proches n’ont plus le droit de quitter le pays.
Les Nations-Unies, l'Union européenne et plusieurs organisations internationales de défense des droits de l'homme réclament sa libération. Une commission du Parlement iranien vient d’annoncer qu'elle allait examiner la situation de l'avocate.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mercredi 12 Décembre 2012 à 12:21
Trois manifestantes aux seins nus de Femen ont disparu en Ukraine lors d'une manifestation contre l'EURO 2012 de football. L'information surprend, les seins nus surtout. Alors, je vais voir sur internet et, là, déluge de vidéos où des jeunes femmes plutôt très belles, blondes sexy comme on les imagine, les seins barrés de mots contre. Contre le tourisme sexuel, contre le harcèlement, contre l'inertie et le machisme des gouvernants.
A une poignée, elles "fichent le bazar" sous le regard amusé des fans de foot ou des Russes au bureau de vote où vient de voter Poutine. Les policiers ne savent visiblement pas par quel bout les prendre. Elles sont déchainées, dé-chainées, plus de tabous, une arme de sexe contre le tourisme sexuel.
Je me suis interrogée : action violente ? Non-violente ? J'aimerais avoir votre avis sur le sujet.
La vidéo et les articles du Monde et du site Egalité donnent des clés pour comprendre (voir en bas de page )
A une poignée, elles "fichent le bazar" sous le regard amusé des fans de foot ou des Russes au bureau de vote où vient de voter Poutine. Les policiers ne savent visiblement pas par quel bout les prendre. Elles sont déchainées, dé-chainées, plus de tabous, une arme de sexe contre le tourisme sexuel.
Je me suis interrogée : action violente ? Non-violente ? J'aimerais avoir votre avis sur le sujet.
La vidéo et les articles du Monde et du site Egalité donnent des clés pour comprendre (voir en bas de page )
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mercredi 27 Juin 2012 à 15:29
Rédigé par Marie-Anne Divet le Vendredi 23 Mars 2012 à 00:57
Les femmes sont-elles plus nonviolentes que les hommes ? Non, pas plus ni moins. Le coeur et le cerveau des femmes n'ont pas plus, ni moins de zones pacifistes, pacifiées, tolérantes, nonviolentes que les hommes. Les rôles que la société imposent à chaque sexe, l'expérience qui en découle modèlent les uns et les autres.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Jeudi 8 Mars 2012 à 15:46
« Notre objectif, c'est de faire en sorte que les différents candidats et les parties prenantes se retrouvent et discutent pour renouer le fil du dialogue et que cessent les violences dans notre pays » a déclaré Bineta Diop, présidente de l'ONG Femmes Africa Solidarité lors de la conférence de la « Plateforme de veille des femmes pour des élections apaisées au Sénégal ».
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mardi 6 Mars 2012 à 18:56
« En tant que femme, je ne peux que condamner la violence faite aux femmes, écrit une lectrice, mais je vis dans mon entourage propre une violence faite par une femme à un homme, intelligent et sensible, et je ne suis pas sûre qu'il y ait une grande différence dans la manière d'éprouver de la souffrance.
La souffrance a-t-elle un sexe ? Je crois que non...
En l'occurence cet homme que je connais a tous les symptômes de la femme violentée. Il trouve à sa compagne toutes les excuses possibles. Refuse la réalité de sa douleur et a le plus grand mal à se dépêtrer de l'imbroglio affectif dans lequel il se prend les pieds. Il souffre et accepte cela. Elle le fait souffrir et jouit de ça. C'est terriblement classique.
Je ne sais que dire sur la violence. Si ce n'est qu'elle est le propre du genre humain. »
La souffrance a-t-elle un sexe ? Je crois que non...
En l'occurence cet homme que je connais a tous les symptômes de la femme violentée. Il trouve à sa compagne toutes les excuses possibles. Refuse la réalité de sa douleur et a le plus grand mal à se dépêtrer de l'imbroglio affectif dans lequel il se prend les pieds. Il souffre et accepte cela. Elle le fait souffrir et jouit de ça. C'est terriblement classique.
Je ne sais que dire sur la violence. Si ce n'est qu'elle est le propre du genre humain. »
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mercredi 8 Février 2012 à 07:32
Déjà 42 446 signatures ont été collectées par Amnesty International Irlande pour demander à l'Union Européenne de « mettre fin aux Mutilations Génitales Féminines ou MGF », d'adopter une « stratégie définitive pour en empêcher la pratique sur les femmes et les jeunes filles en Europe » et de protéger celles qui ont fui leur propre pays par peur.
Rédigé par Marie-Anne Divet le Mercredi 1 Février 2012 à 17:38
Pourquoi ce blog
Marie-Anne Divet
Ce qui m'a intéressée dans les idées de Gandhi, c'est le choix. Ou de réagir à la violence par la violence ou de répondre, en me creusant la tête, d'une autre manière, qui respecte l'être humain, comme un autre moi-même. J'aime cette obligation de faire autrement, d'une façon active et créative, une manière d'être à l'autre et non d'avoir l'autre.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.
Marie-Anne Divet
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.
Marie-Anne Divet
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