ActionAid France / Peuples Solidaires a lancé une pétition de soutien aux travailleuses domestiques du Guatemala qui, à travers leur syndicat, le Sitradomsa, demandent que le gouvernement guatémaltèque ratifie la convention de l'Organisation Internationale du Travail qui protège leur métier.
On estime à quelque 240 000 le nombre des travailleurs·ses domestiques au Guatemala. Un chiffre très en dessous de la réalité puisque la plupart d'entre elles n'ont pas de contrat de travail. Travaillant entre 14 h et 16 h par jour, souvent logées dans la maison de leur employeur, elles n’ont pas de salaire minimum et très rarement une protection sociale, ce qui les oblige à continuer de travailler quand elles sont malades ou enceintes. Un exemple de l'esclavage moderne.
On estime à quelque 240 000 le nombre des travailleurs·ses domestiques au Guatemala. Un chiffre très en dessous de la réalité puisque la plupart d'entre elles n'ont pas de contrat de travail. Travaillant entre 14 h et 16 h par jour, souvent logées dans la maison de leur employeur, elles n’ont pas de salaire minimum et très rarement une protection sociale, ce qui les oblige à continuer de travailler quand elles sont malades ou enceintes. Un exemple de l'esclavage moderne.