Envoyer à un ami
Version imprimable
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager
12/07/2011

Verdi contre Berlusconi



Un moment d'émotion intense. Sur cette vidéo, il commence à 5'30. Alors que les longs applaudissements s'estompent après le final de Nabucco de Verdi, le chef d'orchestre Riccardo Muti accepte exceptionnellement le bis réclamé par le public du Teatro dell'Opera. « Alors que je dirigeais le Choeur qui chantait "O mon pays, beau et perdu", explique-t-il notamment, j'ai pensé que si nous continuons ainsi, nous allons tuer la culture sur laquelle l'histoire de l'Italie est bâtie. Auquel cas, nous, notre patrie, serait vraiment "belle et perdue" .» Face au Premier ministre Berlusconi, il reprend alors sa baguette et les musiciens rejoints par le public font résonner le célèbre Va pensiero, Le Choeur des esclaves.


 



Nouveau commentaire :


L'enquête des lecteurs


"Les gens qui ne sont rien"
Dans ce voyage, un reporter fait partager le meilleur de ses rencontres. Femmes et hommes  de  toutes contrées, des cités de l’Ouest de la France aux villes et villages d’Afghanistan, d’Algérie, du Sahel, du Rwanda, de l’Inde ou du Brésil, qui déploient un courage et une ingéniosité infinis pour faire face à la misère, aux guerres et aux injustices d’un monde impitoyable. 280 pages. 15 €.

Et neuf autres ouvrages disponibles