Rebelles non-violents

Une demi-journée avec le dernier juif arabe

Vendredi 31 Août 2012


Jérusalem - « En ces temps incertains, la période est trouble pour les relations israélo-arabes. Pourtant, un homme insiste pour garder les pieds solidement ancrés des deux côtés de l'abîme. A la fois Irakien et Israélien, Sasson Somekh se décrit comme juif et arabe. Ce poète, universitaire, écrivain, qui traduit la littérature arabe en hébreu, m'a invité à passer ''une demi-journée'' en sa compagnie, allusion spirituelle à une nouvelle peu connue du lauréat égyptien du prix Nobel Naguib Mahfouz. Ecrite au cours des dernières années de la prolifique carrière de l'écrivain, ce conte allégorique relate les événements d'une demi-journée au cours de laquelle le narrateur franchit le matin, alors qu'il est jeune garçon, le portail de l'école pour la première fois et en sort, alors qu'il est un vieil homme, l'après-midi. 

''Comment tout cela a-t-il pu se produire en une demi-journée, entre le matin de bonne heure et le soir au coucher du soleil?'' se demande, perplexe, le vieux narrateur.

Un article paru sur Common Ground de Khaled Diab, journaliste égyptien, blogueur et écrivain vivant actuellement à Jérusalem qui a partagé sa vie de manière égale entre le Moyen-Orient et l'Europe. 
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Marie-Anne Divet
Marie-Anne Divet
Ce qui m'a intéressée dans les idées de Gandhi, c'est le choix. Ou de réagir à la violence par la violence ou de répondre, en me creusant la tête, d'une autre manière, qui respecte l'être humain, comme un autre moi-même. J'aime cette obligation de faire autrement, d'une façon active et créative, une manière d'être à l'autre et non d'avoir l'autre.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.

Marie-Anne Divet