Rebelles non-violents

Parler paix et non-violence avec les enfants

Lundi 24 Septembre 2012


Parler paix et non-violence avec les enfants
La Coordination pour l’éducation à la non-violence et à la paix anime depuis 2009 la Quinzaine de la non-violence et de la paix qui couvre les journées internationales de la paix (21 septembre) et de la non-violence (2 octobre) en proposant chaque année une activité spécifique.

Cette année, Janusz Korczak est à l'honneur. Cela fait 100 ans que cet ardent et premier défenseur des dtoits de l'enfant a créé son premier orphelinat en Pologne. 

La Coordination propose des activités autour de la personnalité de Korczak, précurseur de la mise en pratique de droits comme ceux de s'exprimer, de s'associer, de participer...

En s'appuyant sur ses livres, les enfants parleront de paix et de non-violence avec pour objectif d'en trouver le sens., « La paix, indique le document de préparation pour les éducateurs, ne se résume pas à l'absence de guerre. Elle est un combat pour la justice sociale, l'égalité, la liberté, la fraternité universelle, le rejet des discrimination ainsi qu'un combat pour la préservation des droits humains et plus particulièrement ici les droits des enfants. »

Pour accéder au livret pédagogique cliquez ici



Pour avoir des idées de jeux coopératifs ou pour apprendre en famille à gérer les conflits, cliquez sur  le Centre pour l'action non-violente

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Pourquoi ce blog
Marie-Anne Divet
Marie-Anne Divet
Ce qui m'a intéressée dans les idées de Gandhi, c'est le choix. Ou de réagir à la violence par la violence ou de répondre, en me creusant la tête, d'une autre manière, qui respecte l'être humain, comme un autre moi-même. J'aime cette obligation de faire autrement, d'une façon active et créative, une manière d'être à l'autre et non d'avoir l'autre.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.

Marie-Anne Divet