
Dans son numéro de cette semaine (N° 3666, 18-24 avril), Télérama présente un dossier de quatre pages très intéressant car il met le doigt sur une de nos fragilités. La France "grande région agricole" ne peut assurer que trois jours de réserves alimentaires pour certaines villes. La raison ? Notre agriculture est tournée vers l’export et les approvisionnements dépendent des transports internationaux.
« On ne cherche pas à produire pour le local, on importe à bas prix et on ne stocke pas », dit Catherine Darrot sociologue à Agrocampus Ouest. « Si les chauffeurs routiers tombent malades ou sont bloqués par une fermeture des frontières, tout notre approvisionnement est mis à rude épreuve », ajoute Stéphani Linou, élu à Castelnaudary et l’un des premier locavore. Ce dossier bien documenté pose la question de la relocalisation de l’alimentation, une nécessité à la fois d’un point de vue sécurité alimentaire mais aussi d’un point de vue écologique. A lire.
J-Y D.
« On ne cherche pas à produire pour le local, on importe à bas prix et on ne stocke pas », dit Catherine Darrot sociologue à Agrocampus Ouest. « Si les chauffeurs routiers tombent malades ou sont bloqués par une fermeture des frontières, tout notre approvisionnement est mis à rude épreuve », ajoute Stéphani Linou, élu à Castelnaudary et l’un des premier locavore. Ce dossier bien documenté pose la question de la relocalisation de l’alimentation, une nécessité à la fois d’un point de vue sécurité alimentaire mais aussi d’un point de vue écologique. A lire.
J-Y D.